Tout juste sorti de réanimation, un patient hospitalisé en Israël demande au personnel soignant de réaliser la Mitsva des Téfilines.
L’amour de la Mitsva et le dévouement du personnel soignant, voici les superbes enseignements à retirer de ce cliché. Une personne, parmi malheureusement tant d’autres, a récemment été hospitalisé en Israël, à l’hôpital Hadassa Ein Kerem de Jérusalem, après avoir contracté la Covid-19. Placé en réanimation, son état s’est amélioré baroukh Hachem et, à sa sortie de réanimation, l’homme a demandé au médecin de l’aide pour mettre ses Téfilines. Le docteur, bien que très occupé en cette période tellement difficile pour tous et en particulier pour le personnel soignant, a accepté avec plaisir : « J’ai accepté sans réfléchir à deux fois », a-t-il indiqué.
La réalisation d’une Mitsva dans des conditions difficiles confère un mérite supplémentaire à son auteur. Cet homme, qui a attaché ses Téfilines dans des conditions tellement particulières, est un exemple pour chacun. Il connaît la valeur de chaque Mitsva, en particulier celle des Téfilines, qui est un « signe » distinctif du peuple juif, avec la Mila et le Chabbath.
Souhaitons un rétablissement rapide et complet à tous les malades, et souhaitons-nous de développer, en ce mois d’Eloul, un amour semblable à toutes les Mitsvot.