"Chtouyot" signifie "bêtises" en hébreu...
Selon une étude éditée par la revue américaine « Current Biology » datée du 8 Mai 2012 :
« Les flatulences des dinosaures sauropodes, des herbivores ayant vécu… il y a 150 millions d'années, auraient été suffisantes par leur production de méthane pour entraîner un réchauffement climatique à l'époque préhistorique.
Ces énormes animaux comme le diplodocus, dont le poids était en moyenne de 20 tonnes, avaient - à l'instar des bovins d'aujourd'hui - des microbes au sein de leur flore intestinale qui produisaient du méthane dans le processus de fermentation digestive de leur nourriture constituée de végétaux.
Un simple modèle mathématique laisse penser que les micro-organismes qui vivaient dans le système digestif de ces dinosaures auraient pu avoir produit suffisamment de méthane - pour avoir un impact important sur le climat de l'ère du Mésozoïque, explique Dave Wilkinson, de l'Université de Liverpool. »
Vous vous êtes sans doute demandé pourquoi nous citons ces infos ; Normal, puisqu’elles correspondent au modèle de « l’anti-article » Torah-Box !
Premièrement à cause des problèmes que posent les affirmations au sujet de l’âge du monde lorsqu’elles sont présentées en tant que vérités scientifiques absolues (bien qu’il existe aujourd’hui des éléments permettant de concilier visions scientifique et toranique). Quant aux assertions de modèle mathématique — entendez « science exacte » pour chiffrer le nombre de dinosaures, il est tellement difficile d’être exact pour des choses si lointaines et hypothétiques qu’on est en droit de se demander si cette étude est sérieuse ou tient de la grosse farce !
Deuxièmement et principalement, parce que toute intervention, info, recherche aussi, dans l’approche de la Torah, a pour corollaire un enseignement à même de changer notre façon de vivre et ne se contente jamais de « connaissance pour la connaissance », comme l’a recommandé le Rambane (Na’hamanide) dans sa fameuse lettre à son fils : « Quand tu finis ton étude, cherche ce que tu peux appliquer ».
Dans une optique de Ben Torah (homme construit par l’Etude de la Torah), nous aurions demandé : May Nafka Mina ? (qu’est-ce cela change), ce qui veut dire : quand bien même la Mitsva de Limoud Hatorah (étudier la Torah) attend de l’homme qu’il soit prêt à approfondir les sujets le plus possible, ce n’est jamais au détriment de conséquence pratique.