Celui qui possède deux cents zouz, ne doit pas recourir au lékète, à la shikh'ha, à la Péa, et à la dîme du pauvre. Il possédait deux cents zouz moins un dinar, même si mille personnes lui donnent [un dinar] en même temps, il pourra avoir recours [aux droits du pauvre]. S'ils étaient (les deux cents zouz) gagés chez con créancier ou pour la kétouva de sa femme, il pourra avoir recours [aux dons du pauvre]. On n'oblige pas [un pauvre] à vendre la maison ou bien les objets servant à son usage personnel.