On doit croire les pauvres pour le blé, mais non pour la farine, ni pour le pain. Ils sont dignes de foi pour le riz en épis, mais non pour le riz [décortiqué], cru ou cuit. Ils sont dignes de foi pour les fèves, mais pas pour les fèves moulues crues ou cuites. On les croit pour l'huile, lorsqu'ils déclarent : c'est la dîme des pauvres, mais pas lorsqu'ils déclarent elle est extraite d'olives restantes.