Si, dans un champ, un gerbier couvre une partie non encore glanée, tout ce qui touche terre est pour les pauvres. Si le vent a dispersé les gerbes, on estime la quantité de lékète (glanure) qu'aurait produit le champ et on la donne au pauvre. Rabban Chim'on ben Gamliel dit : on donne aux pauvres selon ce qui tombe habituellement.