Les trous des fourmis se trouvant sous la gerbe, (les fourmis ont amassé des épis, ou des grains près de leurs trous) appartiennent au propriétaire. Ceux derrière les moissonneurs : les supérieurs, aux pauvres, les inférieurs, au propriétaire. Rabbi Méïr dit : tout appartient aux pauvres car un doute sur le lékète (la glanure) est considéré comme lékète.