Un personne alitée (mourante/agonisante) qui écrit un contrat de lègue, s'il s'est réservé un terrain, si petit soit-il, sa donation est valable. S'il n'a pas conservé pour lui un terrain, si petit soit-il, sa donation est nulle. Celui qui fait une donation à ses enfants, s'il destine un terrain, si petit soit-il, à sa femme, celle-ci perd sa kétouba. Rabbi Yossi dit : Si elle accepte [le partage] même si le mari ne l'a pas cosigné par écrit, elle perd sa kétouba.