Lorsque l’on tisse dans une étoffe un fil long comme l’intervalle de 2 doigts avec de la laine du
premier-né d’animaux (dû aux Cohanim), il faut brûler l’étoffe. Si l’on emploie la même quantité de
cheveux d’un Nazir, ou des poils d’un rejeton de l’âne, dans la confection d’un sac, il faut brûler ce
sac. Dans d’autres objets consacrés (qui peuvent être rachetés), le moindre mélange produit la
sainteté (et nécessite le rachat).