Si de la levure profane et une autre de Térouma sont tombées dans une pâte, chacune d’elles étant
insuffisante pour fermenter la pâte mais dont la réunion produit cet effet, il faut, selon Rabbi Eli’ézer, se guider d’après la seconde levure mêlée (et, si elle est de Térouma, le tout est interdit au profane).
Selon les autres Sages, il importe peu que la levure interdite y soit tombée la première, ou non ; en
tous cas, elle n’entraine l’interdit que si elle suffit à fermenter la pâte.