Je m’appelle Judith, j’ai 28 ans et 2 enfants en bas âge. Je me suis mariée très jeune et je suis tombée enceinte assez rapidement. Mon mari travaillait énormément pour subvenir à nos besoins et moi, je passais mes journées à m’occuper de nos enfants et de la maison. Je n’avais pas de temps pour moi, et encore moins pour mon mari. Je n’avais d’ailleurs même pas réalisé à quel point mon couple allait mal. Mais apparemment, mon mari, lui, l’avait réalisé. Un matin, il était dans le salon, une valise à la main, il m’a dit « Je n’en peux plus Judith, je ne me suis pas marié pour vivre comme ça, je pars. »
J’étais effondrée. Je n’entendais plus rien. « Ça ne pouvait pas m’arriver ! Pas à moi, impossible ! »
Les pleurs de mes enfants m’ont vite ramenée sur terre. Malgré la douleur, j’ai décidé de tenir bon pour eux. Ils ne méritaient pas de souffrir. Ils n’avaient rien demandé à personne.
Alors que je croyais être au fond du gouffre et que je me battais déjà contre pas mal de démons, la vie m’avait réservé une autre surprise. J’étais enceinte de mon 3ème enfant. Que D.ieu me pardonne, mais ma première réaction à cette nouvelle a été le refus : « Je ne garderai pas cet enfant, c’est beaucoup trop me demander, j’en suis incapable. »
J’avais donc décidé d’avorter. Le rendez-vous à l’hôpital était pris. Mon D.ieu, combien j’ai pu pleurer. Je ne savais même plus sur quelle difficulté me lamenter mais je versais toutes les larmes de mon corps.
La veille du rendez-vous, je tombe sur un article de l'Admour de Ungvar. Je décide de le contacter sans savoir vraiment ce que j’attendais de cet entretien, mais je pense que j’avais besoin de la bénédiction d’un Tsadik avant de faire ce que je m’apprêtais à faire. C’était une bouteille à la mer, un appel du cœur. Désespérée, je lui ai tout raconté. Avec une patience et une douceur infinies, il a écouté, et il m’a réconfortée : « Je parlerai avec votre mari, vous n’êtes plus seule désormais, ménagez-vous, menez cette grossesse à terme, ce sera un garçon et il vous apportera joie et lumière. » Je ne sais pas comment il a réussi mais en 20 minutes, il m’avait convaincue. Je garderai ce bébé et je l’aimerai envers et contre tout.
Ce coup de fil a été le point final à ma souffrance. À partir de là, tout allait de mieux en mieux. Le rav a, comme promis, appelé mon mari. Il nous a conseillés et guidés pour que nous ayons une vie de famille plus saine et plus épanouie. On peut dire qu’il nous a offert un nouveau départ.
Le jour de l’accouchement est gravé dans nos esprits à jamais. J’avais déjà mis au monde 2 beaux enfants, mais là, avec cette naissance, je donnais la vie à notre enfant c’est vrai, mais aussi et surtout, je voyais mon couple renaître de ses cendres sous mes yeux. Combien nous avons pleuré dans cette salle d’accouchement. C’était des pleurs de reconnaissance, de joie et de remerciement.
Mon bébé-miracle est né en bonne santé, apportant une immense lumière dans notre foyer. C’est grâce à lui que nous avons trouvé la force de nous relever, et de nous reconstruire. Lors de la Brit-Mila, mon mari a pris la parole et avec des sanglots dans la gorge, en regardant notre fils, il a dit : « Un bébé est une bénédiction infinie, on ne se doute pas de tout le bien qu’il peut amener. Du haut de sa petite vie, il a déjà sauvé une famille entière. Merci mon fils ! Merci à ma femme d’avoir eu la sagesse de contacter le Rav avant de commettre l’irréparable ! Merci à l'Admour d’avoir été l’envoyé de D.ieu pour nous ramener sur le bon chemin ! Merci Hachem pour cette seconde chance que Tu nous offres ! »
Demandez conseils et bénédictions à l'Admour de Ungvar par téléphone : cliquez-ici : www.torah-box.com/admour ou par WhatsApp au +972584011760