Veille de Chabbath Ki-Tavo, le 16 septembre, les habitants du quartier de Méa Ché’arim à Jérusalem ont eu le bonheur de voir leurs achats réglés par la générosité d’un Juif français.
Tout doit disparaître ! Il n’y a pas eu d’annonce choc pour “attirer le chaland”, mais une affluence plus importante que la normale a été observée dans une supérette de Méa Ché’arim la semaine passée veille de Chabbath.
Alors que la population de ce célèbre quartier “Froum” de la capitale israélienne faisait ses emplettes Likhvod Chabbes Kodèch, un philanthrope français est arrivé, annonçant aux riverains que cette semaine, leurs courses leur seraient offertes, et qu’il se chargerait de régler la note - salée ! - auprès du commerçant.
Une aubaine pour ces personnes de condition souvent (très) modeste, parents de familles souvent (très) nombreuses, de remplir leurs paniers de toutes sortes de victuailles en l’honneur de la reine Chabbath.
Cette frénésie s’est répandue dans tout le quartier, attirant les familles désireuses d’honorer le Chabbath un peu plus qu’à l’accoutumée et de donner encore plus de force à la Mitsva du bienfaiteur.
Bilan de cette fièvre acheteuse : un donateur comblé d’avoir une part éternelle dans le ‘Oneg Chabbath de plusieurs dizaines de familles et de centaines de personnes, un commerçant ravi qui a réalisé un chiffre d’affaires nettement plus élevé que d’ordinaire (plusieurs dizaine de milliers de shekels) et des familles qui ont passé un Chabbath dans l’abondance.
Un partenariat triplement gagnant pour l’éternité !