À Ticha Béav, nous sommes tous avélim (endeuillés). Nous avons une mitsva de pleurer sur le manque du Beth Hamikdash. Toutefois, nous ne de pas trop nous attrister. En effet, la Torah ne prône ni la destruction de l'autre, ni l'autodestruction. Elle nous demande certes de nous endeuiller à Ticha Béav sur l'absence du Beth Hamikdash, mais cette tristesse doit être constructive. Or le fait même de prendre conscience à Ticha Béav du manque engendré par l'absence du Beth Hamikdash est déjà un premier pas vers sa reconstruction...
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