Il s’agit de 3 frères, dont deux ont épousé deux sœurs, et le troisième est célibataire :
Si l’un de ceux qui étaient mariés est mort et que le célibataire s’est engagé vis-à-vis de la veuve et qu’ensuite le deuxième frère est mort : d’après Beth Chamaï, le survivant peut rester marié avec sa femme et l’autre femme est libre au titre de sœur de sa femme ;
D’après Beth Hillel, il doit divorcer de la première par un acte de divorce et ‘halitsa. C’est en ce sens qu’ils ont dit : « malheur à lui pour sa femme et pour celle de son frère ».