L’épouse d’un directeur de Talmud Torah en Israël a sauvé son fils de deux ans d’une grave blessure à la bouche, juste après avoir été réussi à garder sa bouche d’une médisance au cours d’une situation qui s’y prêtait particulièrement.
“Quel est l’homme qui souhaite la vie, qui aime de longs jours pour goûter le bonheur ? Préserve ta langue du mal, et tes lèvres des discours perfides”. Ce conseil éclairé, issu des Psaumes du roi David (Téhilim 34:13-14), a été mis en pratique par une maman israélienne, à qui un incident étonnant, qui aurait pu être dramatique, est survenu.
Le directeur d’un Talmud Torah en Israël, sa femme et toute leur familles sont connus pour être des gens extrêmement prudents et pointilleux concernant les lois de Chemirat Halachone, les lois du langague, dont ils révisent constamment les Halakhot.
Récemment, l’épouse du directeur s’est retrouvée dans une situation du quotidien, comme nous pouvons en connaître, où il lui était incroyablement difficile de s’abstenir de prononcer une parole médisante, donc interdite. Elle a résisté à cette épreuve plus ardue que d’habitude, et elle est parvenue à garder le silence. “J’ai surmonté cette épreuve grâce à deux choses : la révision continue des Halakhot de Chemirat Halachone en famille et l’assistance divine qu’elles m’ont procurées à cet instant si délicat”, se remémore-t-elle.
Une demi-heure plus tard, elle entre dans sa cuisine et là, une vision horrible la saisit : elle voit son fils de deux ans mordre un couteau tranchant entre ses dents. Figée pendant une seconde, elle lui parle doucement, parvient à le distraire suffisamment pour extraire soigneusement le couteau.
Retrouvant son calme, une pensée éclairante lui traverse l’esprit et conclut cette histoire : elle établit un lien de causalité entre sa décision d’avoir gardé la bouche fermée pour ne pas proférer de Lachone Hara au cours d’une situation très particulière, et d’avoir sauvé la bouche de son fils d’une blessure grave quelques instants plus tard.