L’association de secours aux victimes Zaka a signé un accord mercredi 25 novembre avec l’organisation humanitaire de Dubaï, Dihad, visant à la coopération humanitaire en période de crise ou de tragédies internationales.
Une nouvelle journée historique a récemment eu lieu dans les relations de paix que bâtit Israël avec ses voisins arabes. Mercredi 25 novembre, l’association israélienne Zaka s’est illustrée en signant avec son alter ego émirati Dihad un protocole d’accord à Dubaï dont l’objectif est de mettre en place une coopération humanitaire étroite entre les deux partenaires dans les situations de crise internationale, comme les catastrophes naturelles ou les attentats, D.ieu nous en préserve.
Yéhouda Meshi-Zahav, directeur de Zaka, a fait savoir qu’ « il n’y a pas de meilleure expression de paix que l’aide humanitaire mutuelle et la formation professionnelle au sauvetage ».
Zaka, dont les équipes sont formées pour la plupart de juifs orthodoxes, participent à des missions d’une extrême délicatesse, au rang desquelles l’identification des victimes du terrorisme, des accidents de la route, ainsi que la collecte des restes des corps et du sang pour enterrer les défunts avec la plus grande intégrité possible. Zaka est reconnue à l’échelle internationale notamment depuis son implication hors norme lors du tsunami en Asie du sud-est du 26 décembre 2004 ; le dévouement jour et nuit en Thaïlande, au Sri Lanka, en Inde et en Indonénie a valu à ses membres le surnom de « l’équipe qui dort parmi les morts », rapportait le journal australien Sydney Morning Herald.
Nul doute que ce nouvel accord participe de la construction d’une paix juste et durable dans la région et, espérons le très bientôt, dans le monde avec l’avènement du Machia’h.