Chers amis, aujourd’hui je ne vais pas commencer par ma touche d’humour habituelle. En effet, dans la Paracha précédente, la Torah nous raconte une belle blague, que je vais vous exposer.
Dans cette Paracha, la Torah nous relate l’histoire de Kora'h. Cet homme, un homme pieux, décida d’un seul coup qu’il était plus sage que Moché Rabbénou. Ainsi en a-t-il décidé et sur cette base, il a commencé et poursuivi son combat. Il entraîna malheureusement dans son sillage une grande partie du peuple d’Israël en lui "prouvant" que toute la famille de Moché tenait des rôles trop importants dans la communauté. Il attisa le feu de la colère et de la jalousie. "Quoi ? Y a-t-il eu des élections ? A-t-on voté pour élire ce Roi ou s’est-il nommé tout seul ? Il y a beaucoup de piston ici…" Ainsi parlait Kora'h.
Moché Rabbénou, dont la Torah témoigne qu’il était le plus humble d’entre tous les hommes, n’a que faire de ces querelles mesquines et jalouses. Même si on l’humilie, il se tait et reçoit tout par amour. Et pourtant, on voit qu’à ce moment précis, il se lève, parle et réagit. Il annonce clairement sa volonté de voir Hachem se mêler de cette histoire. Pour quelle raison Moché a-t-il agi ainsi ? Dans ce triste épisode, ce n’était pas juste une histoire personnelle de jalousie, sinon Moché n’aurait pas réagi de la sorte. Mais ici, ce n’est pas seulement la propre personnalité de Moché qui a été remise en question. Si Moché avait décidé de se taire, et s’il n’avait pas agi de la manière dont il l’a fait, le monde aurait vu sa fin très proche… Ici, c’est toute la Torah qui a été remise en cause, tout le message qu’Hachem Béni soit-Il, a souhaité faire comprendre aux enfants d’Israël ! Oui, c’est l’essence même fondamentale de notre Torah qui était en péril ! Et si Moché Rabbénou n’avait pas réagi, le monde aurait été détruit !
Moché a annoncé au peuple : "Mais si l’Éternel produit un phénomène, si la terre ouvre son sein pour les engloutir avec tout ce qui est à eux et qu’ils descendent vivants dans la tombe, vous saurez alors que ces hommes ont offensé l’Éternel". Il parla très clairement face à toute l’assemblée. "Or, comme il achevait de prononcer ces paroles, le sol qui les portait se fendit, la terre ouvrit son sein et les dévora, eux et leurs maisons, et tous les gens de Kora'h et tous leurs biens. Ils descendirent, eux et tous les leurs, vivants dans la tombe ; la terre se referma sur eux, et ils disparurent du milieu de l’assemblée". En voyant un tel évènement se produire, ils n’avaient plus d’autre choix que de croire en Moché. Jusqu’à présent, le peuple avait eu des doutes à ce sujet. À partir de cet instant, plus aucun doute ne pouvait subsister. Il ne peut y avoir de signe plus clair que celui-là. La terre s’ouvre exactement à l’endroit où se trouve Kora'h et son assemblée. D’un coup ils sont tous emportés et enfoncés dans l’abîme, puis la terre se referme comme s’il ne s’était rien passé. Exactement ce que Moché a dit, dans les moindres détails, tout s’est réalisé. On aurait espéré que tout le peuple réagisse et croie à présent sans équivoque en Moché. Et que nous raconte la Torah ? "Et le peuple qui se trouvait autour de cet endroit éleva la voix et se plaignit en disant : 'de peur que la terre ne s’ouvre également ici et nous engloutisse’" Quel Manque d’Émouna ! Que firent-ils ? Ils s’enfuirent de tous côtés ! Pourquoi fuyez-vous ? Tout est calculé et voulu par Hachem, ne craignez pas d’être engloutis vous aussi ! Ce n’est que si Hachem le décide que la terre s’ouvre et aspire les hommes. Ils ont réagi comme si ce n’était pas sur ordre de Moché que la terre s’ouvrit ! Non ! Ils crurent tout simplement qu’il y avait eu un tremblement de terre, un évènement hasardeux qui provoqua l’engloutissement de la famille de Kora'h. Ils n’avaient pas encore compris.
À présent, je vais vous raconter la fameuse blague que j’ai lue : "Et le lendemain, toute l’assemblée d’Israël se plaignit envers Moché et Aharon en disant : 'vous avez fait périr le peuple d’Hachem'’’. En clair, ils accusent Moché et Aharon d’être des assassins. En lisant ce passage, j’ai véritablement eu un fou rire. Je me suis dis que j’avais peut-être confondu avec le livre des blagues. Mais non, c’est bien cela qui est écrit dans le ‘Houmach !
Comme le dit l’expression "il y a une limite à tout", il y a une limite à la bêtise, à la mauvaise foi, à la méchanceté. Dire à Moché et Aharon qu’ils sont des assassins ?! Qu’ils ont tué le peuple ? C’est une sacrée blague !
Et alors, je me pose à nouveau la question qui me tracasse après les évènements de ces dernières Parachiot : que se passe-t-il ici au juste ?
Un peuple entier qui a vu de ses propres yeux des miracles tous plus prodigieux les uns que les autres ! Un peuple qui a été délivré d’une main puissante, un peuple pour lequel la mer a été fendue, un peuple qui a vu les eaux s’élever et tenir comme des murailles. Un peuple qui a entendu la Voix d’Hachem en direct, sans intermédiaire, un peuple ayant mérité de prophétiser de façon plus importante encore que le prophète Yé'hezkiel, un peuple ayant une proximité incroyable avec Hachem, un peuple ayant été témoin de phénomènes surnaturels. Quelle conclusion peut-on tirer de toute cette histoire ?
De plus, n’oublions pas le détail le plus important dans tout cela : les personnes de cette génération étaient toutes religieuses, et mieux encore, ils étaient orthodoxes, ils étaient Avrékhim, ils étudiaient sans arrêt la Torah !
La première chose que l’on peut déduire de ce comportement est que pour l’homme qui ne travaille pas sur lui-même, qui ne cherche pas à changer son caractère, peu importe les miracles qu’il pourra voir dans sa vie, peu importe si Hachem se dévoile à lui, il ne verra rien ! Les circonstances et l’atmosphère qui entourent l’homme ne changent strictement rien ! C’est l’homme lui-même qui doit prendre la ferme décision de vouloir voir, de vouloir créer son propre Gan Eden dans son quotidien. Et cette notion est valable de tous temps et pour toutes les époques. On doit décider de se réveiller et de chercher la joie qui se trouve en nous, on doit décider de rechercher la lumière, la lumière d’Hachem, la lumière de notre sainte Torah, la lumière des Justes et, par-dessus tout, on doit s’efforcer de rechercher la lumière de la Émouna ! Car ce qui peut nous éclairer dans notre vie et nous mener à toutes les autre lumières, c’est uniquement la lumière de la Émouna !
Rabbénou nous enseigne dans les Likouté Moharan que toute sagesse, toute intelligence, possède sa propre mélodie. Mais la mélodie de la Émouna est la mélodie la plus merveilleuse qui existe, c’est la mélodie qui permet d’atteindre les plus hautes sphères célestes !
Le roi David nous apprend dans ses Psaumes "et ne soyez pas comme vos aïeuls": ne soyez pas de faux religieux, de faux orthodoxes, de faux Avréhim, "et qu’ils ne soient pas comme leurs ancêtres, une génération insoumise et rebelle, une génération au cœur inconstant": si l’homme ne s’efforce pas d’effectuer ce que l’on nomme le travail du cœur, il restera toujours ingrat. Si l’on n’essaye pas de travailler sur nous-mêmes, si l’on n’essaye pas de s’isoler avec Le Créateur du monde pour Lui parler et s’exprimer devant Lui, si l’on ne travaille pas notre Moi intime, notre personnalité profonde, on ne peut mériter de percevoir la véritable lumière !
Comme je vous l’ai déjà dit dans mon cours précédent, je pensais auparavant que les gens s’éloignaient de la Torah et de la pratique des Mitsvot à cause des IPhone. Mais aujourd’hui, je réalise que je me suis trompé. En effet, en lisant les dernières Parachiot, je viens de comprendre que le peuple d’Israël à cette époque ne possédait aucun Iphone, ni aucun autre téléphone d’ailleurs ! Ces religieux qui étaient dans le désert et qui pourtant n’avaient aucun lien avec le véritable Judaïsme, ne connaissaient pas les Iphone ! Alors j’ai compris, et nous en avons ici la preuve irréfutable. Pour quelle raison les gens s’éloignent de la Torah ? Tout simplement car ils n’ont jamais réellement goûté à la véritable saveur du Judaïsme ! Ils n’ont jamais connu le vrai goût de la Torah, la douceur de la Torah, la quiétude que procure l’étude de la Torah, le Gan Eden que l’on peut percevoir à chaque instant en ce monde. Non, ça, ils n’ont pas mérité de le goûter. Ils étaient juste "religieux" mais n’avaient aucun lien véritable avec la religion, ils ne la vivaient pas au quotidien, et c’est cela qui leur manquait et qui nous manque encore aujourd’hui pour nombre d’entre nous.
Alors faisons un petit effort ! Notre bonheur ne se trouve qu’à quelques pas de nous, il suffit de tendre la main. Ne soyons pas des robots. Ne portons pas juste le titre de "religieux" comme n’importe quelle autre étiquette que la société pourrait nous coller. Certains considèrent la religion comme un métier. Pour l’électricité il y a l’électricien, pour la religion, il y a le religieux. Un vrai corps de métier ! Il y a une profession que l’on nomme "Avrekh", une autre que l’on nomme "orthodoxe", tout comme un menuisier ou un garagiste ! Arrêtons d’agir ainsi comme des robots, et essayons plutôt de percevoir la vraie valeur de notre Torah, essayons de toucher la lumière ! Notre vie en sera d’autant plus métamorphosée !
Aujourd’hui, Celui qui accorde la sagesse à l’Homme, m’a permis de comprendre une chose : depuis Moché Rabbénou à nos jours, il n’y a pas un seul homme, un seul Tsadik qui n’ait mérité d’avoir le niveau de Moché Rabbénou. De toutes les générations qui sont passées depuis Moché, aucun, je dis bien aucun Tsadik n’a atteint le niveau de Moché Rabbénou. Même pas Rabbi Na’hman de Breslev ! Ne pensez pas que je dis "tous les Tsadikim sauf Rabbénou’’. Non ! Même Rabbi Na’hman n’a pas eu ce qu’a mérité Moché notre maître !
Qu’y avait-il de si spécial en Moché que l’on n’a trouvé chez aucune autre personne ? Hachem n’a permis à aucun autre prophète de réaliser des miracles tels que ceux accomplis en Égypte et par la suite.
Rabbi Nah’man, depuis les Cieux, il lui a été interdit de réaliser le moindre petit miracle ! Le Ba'al Chem Tov a pu réaliser quelques prodiges, mais comparé à ceux accomplis par Moché, ils ne peuvent lui faire ombrage. Et Moché a accompli cela aux yeux de tout le peuple, à la face du monde entier. Tout le monde savait ce qu’avait accompli le prophète d’Hachem, Moché Rabbénou. Si quelques Tsadikim ont accompli certains actes surnaturels sur ordre d’Hachem, ce n’était jamais en public, ou seulement à un nombre restreint de personnes. Combien de personnes côtoyaient le Ba'al Chem Tov ? Ou Rabbi Na’hman ? Ou encore le Gaon de Vilna ? Les Admourim ? Hachem n’a donné la permission à aucun autre Tsadik en dehors de Moché d’accomplir de tels prodiges.
Si seulement la génération du désert avait perçu la grandeur de Moché, ils seraient tour à tour venus trouver Moché pour lui demander conseil ! Tous les jours ! "Moché comment puis-je maîtriser mon mauvais penchant ? Moché comment devient t-on comme toi ?"
Qu'est-ce que Moché leur aurait répondu ? "Venez voir, je vais vous montrer…" Le Midrach nous apprend que Moché avait de mauvais traits de caractère, véritablement, qu’il était orgueilleux… mais qu’il a travaillé sans relâche sur lui-même, il s’est forgé un autre caractère, il a poursuivi sans cesse ses efforts ! Il leur aurait appris nombre de choses pour travailler leur caractère, il leur aurait dévoilé la façon d’annuler les pulsions charnelles de l’homme. Nous n’aurions pas dû attendre jusqu’à l’arrivée de Rabbi Na’hman pour nous l’apprendre dans les Likouté Moharan, tout cela nous aurait déjà été dévoilé dans le désert !
Moché aurait parlé au peuple et leur aurait expliqué : "Ainsi ai-je travaillé sur ce trait de caractère sans relâche. Puis je suis passé à un autre. J’ai prié, j’ai pris sur moi, j’ai renoncé, et c’est ainsi que j’ai annulé l’emprise de cette mauvaise habitude’". C’est ainsi que Moché, que le Tsadik leur aurait expliqué.
Car, en effet, ici demeure tout l’honneur du Tsadik, son essence : le Tsadik peut parler à une personne tombée dans les plus bas fonds, à un homme ayant un sacré caractère et pourtant parvenir à toucher son cœur, à l’élever vers les plus hautes sphères célestes. Si seulement le peuple avait un peu plus cru en lui… Il leur aurait appris qu’il n’était pas un surhomme ou un ange, mais un être humain comme tout le monde.
Notre essentiel est de travailler sur nous-mêmes ! Recherchons la lumière !
Je vais vous apprendre à présent une base fondamentale et valable pour tout et pour tous. Lisons les trois derniers versets de la Torah (Dévarim 34 ; 10) : "Mais il n’a plus paru, en Israël, un prophète tel que Moché’" N’a plus paru et ne paraîtra plus (pour ce qui est de la prophétie).
"Avec qui Hachem avait communiqué face à face" : Moché a vu en face la miséricorde divine ! "Face à face", c’est le niveau le plus élevé qui puisse être atteint, le lien le plus puissant qui existe. La face, c’est le visage, c’est la miséricorde !
"Eu égard à tant de signes et de prodiges qu’Hachem lui ordonna de réaliser". Rabbi Yossef Albo nous enseigne : "Même en accumulant les signes et prodiges de tous les prophètes des générations, ils ne pourront être comparés ni dans leur signification ni dans leur quantité…"
Même Baba Salé – que la paix soit sur lui –, ce n’est qu’après son départ de ce monde que les gens ont commencé à raconter ça et là les nombreux miracles qu’il avait accomplis. Mais lorsqu’il était en vie, combien de personnes le connaissaient vraiment et le côtoyaient quotidiennement ?
"En Égypte, sur Pharaon, ses serviteurs et son pays entier’". Rabbi Yossef Albo poursuit son explication ainsi : ‘"Réussir à faire plier l’ennemi sur son propre terrain." Vaincre le mauvais penchant lorsqu’il est en pleine action, vaincre l’écorce du mal sur son propre terrain ! C’est un évènement incroyable !
"Ainsi qu’à cette main puissante et à toutes ces imposantes merveilles que Moché accomplit aux yeux de tout Israël." Depuis que Moché se rendit à nouveau en Égypte pour y délivrer le peuple, il n’y avait que des miracles. Tout se passait selon une Providence divine miraculeuse.
Le Or Ha’Haïm écrit à propos de la Parachat Vayé’hi : "Il n’y a pas un seul érudit au monde qui a pu ou qui peut atteindre le niveau de savoir et de sagesse de Moché Rabbénou. Et même si l’on additionnait toutes les générations depuis le don de la Torah jusqu’à épuisement de tous les savoirs et de toutes les sciences, il n’y a pas de nouvelle idée que ne connaissait déjà Moché Rabbénou".
Si seulement le peuple d’Israël avait pris conscience, s’était réveillé et avait réalisé qui ils avaient en face d’eux, ils auraient couru à la rencontre de Moché, lui auraient demandé de nombreux conseils. Ils auraient découvert la lumière ! Il leur aurait enseigné tous les livres qui ont été écrits jusqu’à ce jour ! Il leur aurait tout dévoilé ! Toute sa sagesse !
La Michna nous enseigne "Moché a reçu la Torah du Sinaï, l’a transmise à Yéhochoua, Yéhochoua l’a transmise aux Anciens, les Anciens aux prophètes et les prophètes la transmirent aux hommes de la Grande Assemblée". Tout est lié à Moché Rabbénou. Il est le premier maillon de la chaîne de transmission. Tout dépend de lui !
Les enfants d’Israël n’ont pas mérité de percevoir la grandeur de Moché à leur époque. Ils n’ont pas cherché. Ils n’ont pas trouvé. Hormis deux personnes nommées Yéhochoua et Calev, qui ne prirent part à aucun moment aux querelles contre Moché, tout le reste du peuple se trouva entraîné et ne parvint plus à voir clair. Ce que je vous enseigne ici est très important, car nous étions tous au Mont Sinaï, nos âmes étaient présentes à cette époque, ainsi le Arizal nous enseigne. Nous faisions tous partie de cette génération, alors à nous aujourd’hui de comprendre le message et d’essayer de réparer cette faute. À nous de faire Téchouva !
Il faut savoir néanmoins que chaque Tsadik possède une partie de la Torah et possède également une infime partie de l’âme de Moché Rabbénou et ainsi, un peu de lumière a été dévoilée au monde. Mais en aucun cas il n’est possible de penser qu’il existe un Sage plus grand que Moché Rabbénou.
À ce sujet, il est enseigné dans la Michna, Traité Edouyot, chapitre 1, Michna 5, qu’un Beth Din (tribunal rabbinique) ne peut annuler le jugement qu’aurait rendu un autre Beth Din. Il n’est pas possible d’annuler le jugement d’un autre tribunal rabbinique pour la simple et bonne raison que cela signifierait qu’il est plus intelligent que son ami. Si tu en arrives à penser que l’autre tribunal a tort, c’est que tu considères que Moché Rabbénou a tort ! Or, toute la Torah a été transmise par Moché Rabbénou, il la connaissait sur le bout des doigts. On ne peut donc pas disqualifier le jugement de notre prochain.
Grâce à Dieu, nous avons mérité de suivre le chemin de la ‘Hassidout Breslev, et en cela, il y a des parcelles de lumière qui nous ont été dévoilées. Rabbénou nous a permis de connaître ses précieux enseignements, mais tout provient de Moché, tout est relié à lui. C’est pour cette raison que toutes les disputes, les querelles ou les controverses ne sont que des prétextes pour nous embrouiller. Il n’y a aucune raison de polémiquer en réalité, la Torah est divine et elle est unique et réservée au peuple d’Israël.
Nous devons nous efforcer d’honorer tous les Rabbanim, tous les Tsadikim, tous les livres ! Car tous sont des enseignements reçus par Moché Rabbénou. Un Rav a retranché une partie de la Torah : cela signifie t-il que l’on ne doive pas étudier cette partie là ? Parce qu’il ne fait pas partie de notre groupe, de notre cercle.
Nous nous devons d’honorer la Torah, en toutes circonstances. Nous devons croire dans tous les Tsadikim, nous devons honorer tout le monde !
Pour toute information sur le cours hebdomadaire du Rav Arouch ou sur les institutions ‘Hout Chel Hessed, veuillez appeler le 0527161619 ou rendez-vous sur le site des institutions, www.breslev.co.il