Ce cours donne, à partir d'histoires rapportées au début du Midrash sur Méguilat Ékha, plusieurs enseignements sur Ticha Béav, qui nous concernent même aujourd'hui. Il explique aussi que le jour de Ticha Béav est souvent directement associé à la notion de tristesse: on s'asseoit (du moins pendant la première partie de la journée) parterre, on ne se dit pas bonjour, on ne s'adresse quasiment pas la parole pour ne pas en arriver à plaisanter... Pourtant, ce jour n'est pas complètement triste: dès la seconde partie de la journée, la vie commence à reprendre son cours normal. Car même si les Hakhamim nous ont parfois demandé de diminuer les réjouissances, il ne nous ont jamais dit d'être complètement tristes. La joie est, en effet, un élément indispensable pour avancer dans la vie.
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