[Si quelqu’un a devant lui deux animaux, l’un est une ‘Ola et l’autre un sacrifice de
communion, et qu’il dise à propos d’un troisième animal non sacré :] « Cet [animal] est par là
le substitut de la ’Ola, le substitut du sacrifice de communion, cet [animal] est le substitut
de la ’Ola. » [C’est ce] que dit Rabbi Méïr. [Une fois qu’il l’a désigné comme le substitut de la
’Ola, sa déclaration initiale prend effet et l’animal assume la sainteté de la ’Ola]. Rabbi Yosse
dit : « Si telle était son intention dès le début, [lorsqu’il a dit que l’animal est le substitut de
la ’Ola, de dire que l’animal est aussi le substitut du sacrifice de communion, alors] comme il
est impossible de nommer deux noms simultanément, [c’est-à-dire qu’il faut d’abord
prononcer un nom puis l’autre], sa déclaration reste valable, [et l’animal est à moitié une ‘Ola
et à moitié un sacrifice de communion]. » Et si [c'est seulement] après avoir dit : [Cet animal
est par là] le substitut de la 'Ola, [qu'il] reconsidérait et disait : Le substitut du sacrifice de
paix, cet [animal entier] est le substitut de la 'Ola.