Si quelqu’un consacre une femme à condition qu’elle n’ait pas d’engagement par vœu, et il se trouve qu’elle en a prononcé un, le mariage sera nul ; s’il l’a épousée sans condition, et elle est engagée, elle se séparera sans recevoir le douaire. Si un homme a épousé une femme à la condition qu’elle n’ait pas de défauts (infirmités), et il se trouve qu’elle en a, le mariage est nul. S’il l’a épousée sans condition, et il se trouve qu’elle a des défauts, il peut la répudier sans lui donner le douaire. Les défauts énumérés dans la Torah à propos des Cohanim (Vayikra 21,18-20) et qui les rendent impropres au service du culte, peuvent devenir des causes d’annulation des mariages.