Et voici les tereifot chez un oiseau : [si son] œsophage est perforé, ou [si sa] trachée est coupée dans toute sa largeur ; ou si une belette frappait l'oiseau à la tête à un endroit qui le rend tereifa, (car il faut s'inquiéter que la membrane du cerveau soit perforée) ; ou si le gésier était perforé ; ou si les intestins grêles étaient perforés.
Dans le cas où un oiseau est tombé dans le feu et que ses entrailles ont été roussies [ne’hmerou], s'ils sont devenus verdâtres, ils sont impropres, et l'oiseau est un tereifa, mais s'ils sont rouges, l'oiseau est permis.
Si une personne a piétiné l'oiseau, ou l'a frappé contre un mur, ou si un animal l'a écrasé et qu'il convulse, elle est tereifa (car ses membres ont été brisés). Mais [si l’oiseau] a duré (et est resté en vie) [vingt-quatre heures] et qu’on l’a ensuite abattu, il est permis.