Et ceux-ci, [malgré leur état], sont permis chez un animal : [Si sa] trachée est perforée ou fissurée [dans le sens de la longueur]. Dans quelle mesure [la trachée peut-]elle manquer tout en restant permise ? Rabban Chimon ben Gamliel dit : Jusqu'à ce que [la perforation soit de la même taille que l'] issar italien. Si le crâne a été fracturé mais que la membrane du cerveau n’a pas été perforée, [c’est permis]. [Si] le cœur a été perforé et que [la perforation] n'a pas [atteint] sa chambre, [ou si la colonne] vertébrale a été brisée mais son cordon n'a pas été coupé, [ou si] le foie a été retiré et qu'il en reste une grosseur d'olive, [c'est permis]. De plus, il est permis si l’omasum (le feuillet) ou le réticulum (le bonnet) ont été perforés l’un dans l’autre. Si la rate a été enlevée, ou si les reins ont été enlevés, ou si sa mâchoire inférieure a été enlevée, ou si son utérus a été enlevé, ou si son poumon s'est ratatiné par « la main du Ciel » (les poumons se sont rétrécis car elle a eu peur du tonnerre), l'animal est permis. Dans le cas d'un animal dont la peau a été enlevée, le rabbin Meir le considère comme permis, et les Sages le considèrent comme [tereifa] et impropre [à la consommation].