On ne peut racheter[son fils premier-né], ni avec[des serviteurs cananéens], ni avec[des billets à ordre], ni avec des terres, ni avec des objets consacrés. [Si le père]a écrit[un billet à ordre]au Kohen indiquant qu'il est obligé de[lui donner]cinq pièces de sela, [le père est]obligé de[les]lui donner mais son fils n'est pas racheté. Par conséquent, si le Kohen souhaite lui rendre[les cinq pièces de sela]en cadeau,[il est]autorisé[à le faire. Quant à]celui qui désigne[cinq pièces de séla pour]le rachat de son[fils premier-né]et qui perd[les pièces avant de les donner au Kohen, le père]porte[la responsabilité financière]de leur[perte], comme il est dit[à Aharon le Kohen(Bamidbar 18,15) : « Tout ce qui ouvre le ventre de l'homme et de l'animal]sera à toi » ; et[seulement après il est dit :]« Tu rachèteras[le premier-né de l'homme ». Cela indique que ce n'est qu'une fois que l'argent est en possession du Kohen que le fils est racheté].