Lorsqu’un taureau a encorné un homme et qu’il en est mort : s’il (le taureau) était [initialement] MOU’AD, il (son propriétaire) doit payer la valeur « marchande » [du défunt] (KOFER) ; s’il était [initialement] TAM, il (son propriétaire) est dispensé de [payer] la valeur « marchande » [du défunt].
Dans un cas comme dans l’autre, ils (les taureaux agresseurs) doivent être mis à mort.
Il en est de même lorsque la victime est un garçon ou une fille.
Lorsqu’un taureau a encorné (et ainsi blessé) un esclave [cananéen] ou une servante [cananéenne], il (son propriétaire) doit payer la somme de 30 Sela’im, et ce, qu’il (ou elle) vaille 100 Mané (soit 2500 Sela’im) ou qu’il (ou elle) ne vaille qu’un Dinar (soit ¼ de Séla).