L'honneur, la considération, le Kavod... c'est la nourriture psychologique d'un être humain. Et les enfants ne dont pas exception à cette règle !
Comment comprendre que le kavod soit la nourriture psychologique de l'être humain ? Les enfants ont-ils aussi besoin de kavod ? Que dit le Méïri à propos de la mitsva de kiboud av vaem (honorer ses parents) ? Pouvons-nous exiger de nos enfants qu'ils nous fassent du kavod si nous-mêmes nous ne leur en donnons pas ? Dans quelle mesure le kavod qu'on fait à un enfant l'aidera-t-il à s'améliorer ? Que risque-t-il très probablement de se passer chez un enfant qui a grandi sans kavod ? L'indifférence est-elle pire que la dispute ? Est-il préférable de donner trop de kavod à un enfant plutôt que de ne pas lui en faire assez ? Pourquoi ? A quel âge commence le besoin humain de kavod ? Y a-t-il une limite au kavod que nous devons donner ?
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