Nous aimerions parfois n’avoir aucune difficulté, et réussir aisément dans tout ce que nous entreprenons. Cependant, comme l’explique ce cours, cela n’est pas souhaitable. Pourquoi ? Devrions-nous pour autant désirer les difficultés ? Lorsque celles-ci arrivent, en quoi est-il si important (et particulièrement dans notre génération) de tenir bon ? Et comment les gérer pour en tirer le meilleur ?
Notre génération est particulièrement touchée par les difficultés, dans de nombreux domaines : santé, parnassa, éducation des enfants...
Nous aimerions bien, parfois, avoir la vie facile. Une vie où tout va comme nous le voudrions, sans aucune contrariété. Mais si nous avions cela, peut-être que, hass véchalom, nous oublierions complètement Hachem. Et cela, Hachem ne le veut pas.
Il veut que nous Le servions dans la situation où nous sommes, même lorsqu'elle est différente de celle où nous aimerions être.
Nous ne devons pas souhaiter les difficultés. Mais lorsque nous y sommes confrontés, nous devons les surmonter.
C'est précisément dans les moments d'incompréhension, de difficulté, d'obscurité, que nous devons faire preuve de émouna, comme l'indiquent les mots de Téhilim "véémounatekha baléloth".
La vraie force d'un sportif se voit lorsqu'il relève un défi particulièrement difficile. Un boxeur est bon s'il réussit à vaincre une personne qui est, elle aussi, très forte est bien entrainée.
Hachem a voulu que la génération qui accueillera le Machia'h soit particulièrement éprouvée. Restons forts ! Il serait dommage de se décourager à quelques mètres de la ligne d'arrivée...
Retranscription : Léa Marciano
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