Le Zohar (Térouma) ainsi que le Midrach (Béréchit Rabba 1- 2) nous enseignent que D.ieu regarda dans la Torah afin de créer le monde. Modèle de référence, la Torah est à l’origine de l’architecture de l’Univers. Il n’est donc pas étonnant que la Torah révèle des informations extrêmement précises sur la formation de l’Univers, qui n’étaient guères connues des Hommes. Ce n’est que grâce aux dernières technologies que nous sommes à même de saisir quelque peu les vérités énoncées depuis toujours dans la Torah.
C’est le cas par exemple de la structure de la Terre. La Torah nous dit qu’à l’origine, D.ieu créa d’une part les océans et d’autre par la terre ferme. Plus tard, il divisa la terre ferme en plusieurs continents.
Au commencement
Lors de la conception de la Terre, le verset dit « D.ieu dit ‘Que les eaux répandues sous le ciel se réunissent sur un même point, et que le sol apparaisse’ cela s’accomplit » (Genèse 1, 9), c’est-à-dire qu’au début il n’y avait qu’une seule Terre.
Le verset suivant dit « D.ieu nomma le sol la Terre, et l’agglomération des eaux, Il la nomma les Mers. Et D. considéra que c’était bien ».
Qu’est- il arrivé à cette terre ?
« A Héber il naquit deux fils. Le nom de l’un : Peleg (division), parce que de son temps la terre fut divisée ; et le nom de son frère : Yoktân » (Genèse 10, 25)
L’infrastructure de la Terre est donc claire, au début une seule terre qui se partagera en plusieurs terres, les continents.
Pourtant, ces révélations connues depuis des millénaires dans la Torah ne trouveront écho sérieusement dans la science qu’au début du siècle dernier par le physicien-météorologue Alfred Wegener. En effet, ce dernier proposa sa théorie sur la dérive des continents après avoir observé la complémentarité des lignes côtières entre l’Amérique du Sud et l’Afrique ; il conçut l’idée qu’autrefois, l’Afrique et l’Amérique n’avaient été qu’un seul et même bloc qui se serait fragmenté en deux parties, lesquelles se seraient éloignées l’une de l’autre.
Ces découvertes ont amené Wegener à concevoir que dans un passé lointain, toutes les masses continentales étaient réunies en un seul méga continent – la Pangée.
Wegener avait exécuté sa reconstruction de la Pangée en utilisant des rivages actuels autour de l’Atlantique. Ce n’est qu’au début des années 60 qu’Edward Bullard, J. Everett et A. Smith, tous de Cambridge, démontreront qu’on obtiendrait un emboîtement beaucoup plus cohérent si on faisait le rapprochement des masses continentales actuelles en utilisant le contact entre croûte continentale et croûte océanique plutôt qu’avec les lignes de rivages. Aujourd’hui, grâce à notre connaissance de la tectonique des plaques, la reconstruction la plus juste de la Pangée est à l’unanimité celle de Bullard et de ses collègues.
De combien de continents est composée la Terre ?
Alors que la question du nombre de continents dont est composée la Terre fait encore débat, un nouveau continent caché en partie sous l’océan Pacifique vient d’être confirmé par une équipe de scientifiques après des dizaines d’années de recherche.
Le 7e continent, Zealandia, est maintenant officiellement reconnu.
Pour une superficie de 4,9 millions de kilomètres carrés, séparé de l’Australie et de ses 7,8 millions de kilomètres carrés de superficie, ce continent de Nouvelle–Zélande est submergé à 94%, ce qui en fait le plus submergé de tous les continents. Selon les chercheurs, cette partie précise de la croûte continentale est assez grande et suffisamment distincte des autres continents « pour être considérée, non pas seulement comme un fragment continental mais comme un véritable continent – Zealandia » (l’Express 18/02/2017)
Ce n’est qu’en 1995 que le géophysicien Bruce Luyendyk de l’Université de Californie proposera le nom « Zealandia » pour définir ce continent caché, le septième continent.
Pourtant, il y a 1900 ans, le Zohar mentionnait précisément le nombre de continents qui se trouve sur Terre. Sur le verset « D. dit : ‘ Que les eaux répandues sous le ciel se réunissent en un même point… » Le Zohar explique : « Une seule terre est réellement sortie de sous les eaux… et d’elle se sont formés sept continents » (Zohar Hadach, Béréchit)
Le 6e millénaire : point de rencontre entre les sages des nations et la Torah
Nous sommes témoins, dans ces dernières générations, avec les révélations spectaculaires de la science, de la véracité de notre Torah qui devance les recherches les plus avancées, révélant à son peuple les secrets de la Création. C’est ce que le Zohar dit (part. 1, page 117b) « lors du sixième millénaire seront révélés au monde de grands secrets. »