Traité Yebamot

Qu’appelle-on Mamzer ? Tout enfant issu d’un mariage contracté avec une proche parente rentre dans le cadre de : « Il ne sera pas admis dans l’assemblée de D’ieu » (Devarim 23,3) ; c’est l’avis de Rabbi Akiva. Chimon HaTémani dit : tous ceux dont l’union est passible de la peine de « retranchement par voie divine » ; la Halakha est comme lui. Rabbi Yehochoua dit : tous ceux dont l’union est passible de mort par décret d’un tribunal rabbinique. Rabbi Chimon ben Azaï a dit : « J’ai trouvé un registre des familles à Jérusalem où il écrit : un tel est Mamzer car il est né d’un adultère ». Ceci confirme l’opinion de Rabbi Yehochoua.

Si la femme d’un homme meurt, il a le droit d’épouser sa sœur. S’il a répudié sa femme et qu’elle est morte, il a le droit d’épouser sa sœur. Si elle s’était remariée et puis est morte il a le droit d’épouser sa sœur. De même si sa belle-sœur est morte, il a le droit d’épouser sa sœur. S’il avait fait ‘Halitsa et qu’elle est morte, il a le droit d’épouser sa sœur.