[Si l’on sacrifie] un animal pour le péché et que [celui-ci est atteint d’une imperfection], on
le vend et [on doit] apporter un autre [sacrifice pour le péché] avec l’argent de la [vente].
Rabbi Elazar, fils de Rabbi Chimon dit : [Si le deuxième animal] est sacrifié avant que [le
premier] ne soit sacrifié [pour une consommation non sacrée, le premier animal] sera [laissé
pour] mort. [Bien qu’il ait été vendu et rendu non sacré, son statut est désormais celui d’un
sacrifice pour le péché] dont le propriétaire a déjà fait l’expiation [avec un autre animal].