נתאכל הבשר--היו מלקטין את העצמות, וקוברים אותם במקום. והקרובים באים ושואלים את שלום העדים, ואת שלום הדיינין--כלומר שאין בליבנו עליכם כלום, שדין אמת דנתם. ולא היו מתאבלים; אלא אוננים, שאין אנינה אלא בלב.
Lorsque le corps se sera désagrégé, alors on recueille les ossements pour les inhumer à la place qui leur revenait, et les proches parents [du condamné] viennent saluer juges et témoins, comme pour dire : nous n’avons rien dans notre cœur contre vous, car [nous savons que] vous avez prononcé une sentence de vérité. Mais on n’observait pas les règles rituelles de deuil, on s’en tenait à « l’état de chagrin » qui est un chagrin que l’on garde à l’intérieur de son cœur.