Celui qui fait un vœu pour empêcher sa femme d’aller dans les maisons de deuil ou aux festins, est obligé de la répudier et de lui donner le douaire, parce qu’il lui ferme ainsi partout les portes ; mais si le mari a un motif pour cet empêchement, il est dans son droit. S’il a mis à son vœu la condition que sa femme répète à un autre ce qu’elle lui dit, ou ce qu’il lui dit, ou qu’elle remplisse des cruches et les vide au fumier (comme une personne inconsciente), il est obligé de la répudier et de lui rendre son douaire.