Si le mari fait un vœu empêchant sa femme de manger d’aucun fruit, il devra divorcer et rendre le douaire. Rabbi Yehouda dit : le simple Israélite la gardera s’il s’agit d’un jours ; mais pour deux jours, il se séparera d’elle ; s’il s’agit d’un Cohen, il la gardera lorsque le vœu porte sur deux jours, et il se séparera s’il est question de trois jours.