[Si quelqu’un] abat un animal domestique, un animal non domestique ou un oiseau, et que du sang n’en a sort pas [pendant l’abattage, tous ces animaux sont] permis [à la consommation et n'exigent pas le lavage rituel des mains], car ils peuvent être mangés avec des mains rituellement impures (mesoavot), car ils n'ont pas été rendus sensibles [à l’impureté rituelle par contact avec le sang], (le sang est l’un des sept liquides rendant la nourriture sensibles à l’impureté. Les sept liquides sont : (י"ד שח"ט ד"ם) le vin, le miel d’abeille, l’huile d’olive, le lait, la rosée, le sang et l’eau). Rabbi Chimon dit : Ils ont été rendus sensibles à l’impureté rituelle au moyen de l’abattage [lui-même].