[Si quelqu'un a consacré son champ ancestral (sédéa’houza) et que l'année] duYovel est arrivée et qu'il n'a pas été racheté [par le propriétaire ou quelqu'un d'autre], les Kohanim entrent dans [le champ] et versent son paiement [de rachat au trésor du Beth HaMikdash ; c'est] la déclaration de Rabbi Yehouda. Rabbi Chimon dit : Ils entrent [dans le champ], mais ils ne versent pas [le paiement du rachat au trésor du Beth HaMikdash]. Rabbi Eliezer dit : [Les Kohanim] n'entrent pas [dans le champ], et ils ne versent pas [non plus le paiement du rachat au trésor du Beth HaMikdash]. Au contraire, [le champ reste en possession du trésor du Beth HaMikdash, et] il est appelé : Un champ abandonné, jusqu'à la deuxième [année du Yovel]. Si le deuxième Yovel est arrivé et qu'il [n'a toujours] pas été racheté, on l'appelle : Un [champ abandonné parmi les champs] abandonnés, [c'est-à-dire celui qui a été abandonné deux fois], jusqu'au troisième Yovel. [Dans tous les cas], les Kohanim n'entrent jamais dans [un champ consacré pendant l'année du Yovel] jusqu'à ce qu'une autre [personne] le rachète [au préalable].