On ne fera pas moins de vingt et un [coups] de sonnerie [de Chofar quotidiennement] dans le Beth HaMikdash, [puisque chaque jour trois coups sont donnés pour l'ouverture des portes le matin, neuf pour l'offrande quotidienne du matin et neuf pour l'offrande quotidienne de l'après-midi, soit un total de vingt-et-un coups de Chofar]. Et jamais plus de quarante-huit sons [ne sonnent en un seul jour. Cela se produisait le vendredi de Souccot, lorsqu'ils sonnaient douze coups supplémentaires pendant le rituel consistant à puiser l'eau pour la libation d'eau ; neuf pour les offrandes supplémentaires ; trois pour signaler à la population de cesser son travail avant Chabbat ; et trois autres pour marquer le début du Chabbat. Lorsqu'ils accompagnent leur chant avec des instruments, les Lévites] n'utilisent pas moins de deux lyres (névèl) et n'en utilisent pas plus de six. [Lorsque l’on joue des flûtes], ils n’en utilisent pas moins de deux et n’en utilisent pas plus de douze. Et [il y a] douze jours dans l'année où la flûte joue devant l'autel : au [moment de] l’abattage de la première offrande de Pessa’h, [le quatorze Nissan] ; et au [moment de] l'abattage de la deuxième offrande de Pessa’h, [le quatorze Iyar] ; et le premier [jour de fête] de Pessa’h ; et à la fête de Chavouot ; et [les] huit jours de la fête de Souccot. Et on ne jouerait pas avec une flûte de [avec un bec en] cuivre ; on jouerait plutôt avec une flûte de roseau, parce que son son est [plus] agréable. Et on ne conclurait [la musique] qu’avec une seule flûte, car elle conclut [bien la musique].