Il n’y a pas d’évaluation inférieure à un sela, ni [plus] de cinquante sela. Comment cela ? [Si] quelqu'un a donné un sela et est devenu riche, [il] n'est pas [tenu de] donner quoi que ce soit [de plus, car il a rempli son obligation. S'il a donné] moins d'un sela et est devenu riche, [il est tenu de] donner cinquante sela, [car il n'a pas rempli son obligation. S'il] y avait cinq sela en [possession de la personne pauvre et que l'estimation qu'il a entreprise est supérieure à cinq] sela, [combien doit-il payer ?] Rabbi Meïr dit : Il ne donne qu'un seul [séla et remplit ainsi son obligation]. Et les Sages disent : Il donne les [cinq]. Il n’y a pas d’évaluation inférieure à un sela ; niplus de cinquante sela.
[Si une femme a eu un écoulement de sang et ne] sait pas [si c'est pendant ses jours de menstruation ou pendant les onze jours qui la rendraient zava, l']atténuation [de son état d'incertitude ne] se [produit pas en] moins de sept [jours purs], ni [en] plus de dix-sept [jours d'abstinence, selon le nombre de jours pendant lesquels elle subit l'écoulement].
[Il existe des symptômes de la lèpre dont un Kohen confirmera immédiatement qu'ils sont rituellement purs ou rituellement impurs, et il y en a d'autres pour lesquels le Kohen met le lépreux en quarantaine afin de déterminer son statut]. En ce qui concerne les marques de lèpre, il n'y a pas [de quarantaine] inférieure à une semaine ni supérieure à trois semaines (3 fois une semaine).