Celui qui vend des fruits en Syrie et dit : « ils proviennent d’Erets Israël, on est tenu de prélever la dîme. [S’il a ajouté] « et les dïmes en ont été prélevées », on le croit car la bouche qui a interdit est la même bouche qui a permis. « Ils proviennent de mon champ », on est tenu de prélever la dîme. [S’il a ajouté] « et les dïmes en ont été prélevées », on le croit, car la bouche qui a interdit est la même bouche qui a permis. Mais s’il est notoire qu’il a un champ en Syrie il faut prélever la dîme.