Si un ‘am haarets dit à un ‘haver « Achète moi une botte de légumes, achète moi un bouquet de légumes », il faut simplement l’acheter et il est dispensé. Mais s’il dit : « Celui-ci est à moi, celui-là à mon prochain et qu’ils se trouvent ensuite mêlés, il est obligé de prélever la dîme, même si ils sont cent.