Il avait coutume de dire : Ce n’est pas à toi de terminer l’ouvrage, mais tu n’as pas non plus le droit de t’en dispenser. Si tu as appris beaucoup de Torah, on te donnera beaucoup de salaire, et le maître de ton salaire, et le maître de ton travail est de confiance, il te payera le salaire de ton ouvrage, et sache que le paiement du salaire des pieux se fera dans le monde futur.