Question : "Je connais l’importance de la prière à la synagogue, en présence d’un Minyan, mais parfois, je suis dans l’obligation de prier seul, à la maison et surtout en période d’épidémie. J’aurai souhaité ne pas commettre de fautes et connaître les détails me permettant de prier lorsque je suis à la maison car il ne m’est pas possible de suivre l’exemple de la communauté."
La réponse de Rav Gabriel Dayan :
La prière au Beth Haknesset en présence d’un Minyan n’est jamais repoussée ; tôt ou tard, elle est exaucée. Voir Midrash Rabba Paracha 2 sur Dévarim, Rambam, Hilkhot Téfila, chapitre 8, Halakha 1, Kitsour Choul'han ‘Aroukh, chapitre 12, Halakha 2, Hatefila Bétsibour, pages 38-44.
Prier au Beth Haknesset en présence de dix personnes [minimum] est une Mitsva obligatoire de première importance. Voir Choul'han ‘Aroukh - Ora’h ‘Haïm, chapitre 90, Halakha 9 [dans cette référence, il apparaît qu’uniquement en cas de force majeure, « Anouss », il est possible de ne pas prier en présence d’un Minyan], Hatefila Bétsibour, pages 30-44 et 47.
En priant au Beth Haknesset en présence d’un Minyan [10 personnes], on mérite d’écouter la lecture de la Paracha dans le Séfer Torah, de répondre au Kaddich, à la Kédoucha, à Barékhou et d’accomplir de très nombreuses autres Mitsvot.
Ci-dessous quelques détails importants, concernant la prière lorsqu’il n’est pas possible de se rendre au Beth Haknesset et que l’on doit prier seul, à la maison, par exemple :
L’ENDROIT POUR PRIER
1. Le meilleur endroit pour la prière est le Beth Haknesset même si l’on doit prier seul. Choul'han ‘Aroukh, chapitre 90, Halakha 9.
2. Il est interdit de prier en étant debout sur un endroit surélevé [chaise, table, lit, etc.]. Choul'han ‘Aroukh, chapitre 90, Halakha 1.
3. Il est bien [ce n’est pas indispensable] de prier dans une pièce où il y a des fenêtres dans la direction où l’on se dirige pour réciter la 'Amida. Iché Israël, chapitre 9, Halakha 7.
4. Dans la mesure du possible, il faut éviter de prier dans un endroit non délimité par des murs [champ, rue, etc.]. Le toit n’est pas indispensable.
5. Il vaut mieux prier dans un endroit ouvert plutôt que de ne pas prier.
6. Au Beth Haknesset, à la maison, ou ailleurs, il faut, toujours, s’efforcer de prier à la même place. Talmud Brakhot 6b et Choul'han ‘Aroukh, chapitre 90, Halakha 19 et Michna Broura, passage 59.
7. Il faut réciter la ‘Amida près d’un mur de telle sorte que personne puisse passer devant la personne qui prie.
8. Il ne faut pas réciter la 'Amida face à un miroir ou une photo. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 90, Halakha 23 et Iché Israël, chapitre 9, Halakha 24-25.
9. Il n’est pas interdit de prier dans une pièce où il y a une femme habillée correctement. A la synagogue, les femmes doivent être dans la salle qui leur est réservée.
10. Il est interdit de prier si l’on ressent une mauvaise odeur. Il faut s’éloigner à plus de 2 mètres depuis l’endroit où l’on ne sent plus. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 79, Halakha 1.
11. S'il y a des excréments dans les alentours :
Les excréments de chien ont le même statut que ceux de l'être humain, étant donné que, généralement, ils ont une odeur désagréable. Voir Levouch, chapitre 79, Halakha 4 et 'Aroukh Hachoul'han, chapitre 79, Halakha 13.
S'ils sont recouverts et que l'on ne sent rien, il n'est pas nécessaire de s'en éloigner. Ceci est valable même si les excréments sont visibles à travers la matière qui les recouvre.
Si les excréments ne sont pas recouverts :
Il faut s'éloigner à plus de 2 mètres à partir de l'endroit où l'on ne sent plus rien.
Si les excréments sont en face de la personne, il faut s'en éloigner de telle sorte qu'ils ne soient plus visibles.
Si les excréments sont sur les côtés :
S'ils sont visibles sans tourner la tête, ils sont considérés comme étant en face.
S'ils ne sont visibles qu'en tournant la tête : à priori, il faut les considérer comme s'ils étaient en face. Il faut leur donner le dos et s'en éloigner à plus de 2 mètres à partir de l'endroit où l'on ne sent plus rien. Si cela demande des efforts considérables, il n'est pas obligatoire de leur donner le dos, mais il faut s'en éloigner à plus de 2 mètres à partir de l'endroit où l'on ne sent plus rien.
12. Il est permis d'étudier, de lire des Téhilim ou des passages de la prière même si l'on se trouve face à des femmes n'étant pas habillées conformément à la Halakha. Cependant, il faut tourner la tête afin de ne pas avoir la face dans leur direction.
D'après certains décisionnaires, il faut diriger son corps dans une autre direction. En cas de force majeure, il suffit de tourner la tête dans une autre direction ou de fermer les yeux, si l'on récite des passages par cœur. Voir Michna Broura, chapitre 75, passage 1, Michné Halakhot, volume 6, question 21 et Rav Chlomo Gantsfried dans son Kitsour Choul'han 'Aroukh, chapitre 5, Halakha 16.
A QUELLE HEURE PRIER ?
13. Lorsqu’il n’est pas possible de prier avec un Minyan, il faut s’efforcer de prier au même moment qu’un autre Minyan. Si cela n'est pas possible, il faut, dans la mesure du possible, essayer de prier dans un Beth-Haknesset. La prière y est, toujours, "mieux écoutée". Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 90, Halakha 9 et Michna Broura, passage 33.
14. Est-il permis de prier seul tous les jours à l’heure du Nets en sachant que, par la suite, il y a un Minyan au Beth Haknesset [après l’heure du Nets avant l’heure limite de la Téfila] ?
Réponse : cela est permis, uniquement s’il est certain que l’on peut prier avec ferveur et correctement . Voir Halakha Broura, volume 5, pages 172 [note 4]-173. D’après certains de nos maîtres, ce n’est pas une évidence. Voir Tsits Eliezer, volume 14, question 5, volume 16, question 3, Pisské Techouvot, chapitre 58, passage 6 et les références rapportées dans Halakha Broura, volume 5, page 172, note 4 et page 173, note 8.
15. Celui qui a l’habitude de prier [avec Minyan] au Beth Haknesset à l’heure du Nets, peut prier seul, s’il ne trouve pas de Minyan.
Voir Iché Israël, chapitre 13, Halakha 6, chapitre 18, Halakha 4, Or Létsion, volume 2, chapitre 7, question 5 et Biour Halakha, passage « Oumitsva Mine Hamouv’har » sur Choul'han ‘Aroukh - Ora’h ‘Haïm, chapitre 58, Halakha 1.
16. S’il n’est pas possible de prier avec un Minyan ou si l’on se trouve dans un endroit où il n’y a pas de Minyan, il est préférable - dans la mesure du possible - de prier à l’heure du Nets [si possible, dans un Beth Haknesset]. Dans une telle éventualité, il est bien de réciter à nouveau les trois paragraphes du Chéma' après la prière - Pisské Techouvot, chapitre 58, fin du passage 5, Choul'han ‘Aroukh, chapitre 89, Halakha 1, chapitre 58, Halakha 1.
LA TSÉDAKA
17. Lorsque l’on prie sans Minyan, on n’est pas exempté de donner de la Tsédaka lorsque l’on récite Vayevarekh David ou avant la Téfila. Le fait de donner la Tsédaka avant la prière est mentionnée dans le Rambam, Hilkhot Matnot 'Aniyim, chapitre 10, Halakha 15, Choul'han 'Aroukh, chapitre 92, Halakha 10.
18. Pour Min'ha, on donnera la Tsédaka avant de commencer les Kétoret, avant Achré ou avant la 'Amida. Pour 'Arvit : certains ont l'habitude de ne pas donner de la Tsédaka durant la nuit [selon la Kabbale], sauf s'il s'agit d'une personne nécessiteuse se présentant avant le début de la 'Amida. Mais certains donnent, également, avant la prière d'Arvit, étant donné que les pièces sont, généralement, distribuées durant la journée et non, durant la nuit. Voir Pisské Techouvot, chapitre 237, passage 4.
BARÉKHOU QUAND ON PRIE SEUL
19. Lorsque l’on prie seul et qu’il n’est pas possible de dire Barékhou, il est bien de dire cet enseignement de Rabbi Akiva. Pour ’Arvit : avant Véhou Ra’houm. Pour Cha’harit : avant ‘Alénou Léchabéa’h.
אמר רבי עקיבא חיה אחת עומדת ברקיע ושמה ישראל, וחקוק על מצחה ישראל, עומדת באמצע הרקיע ואומרת ברכו את השם המבורך, וכל גדודי מעלה עונים ואומרים ברוך השם המבורך לעולם ועד
Voir Ben Ich ‘Haï, année 1, Parachat Vayigach, Halakha 18, année 2, Parachat Vayéra, Halakha 3, Yabi'a Omer, volume 2, Ora’h ‘Haïm, réponse 4, passage 6, Yalkout Yossef, chapitre 57, Halakha 4.
LA KEDOUCHA DU YOTSER ET LA KEDOUCHA D’OUVA LÉTSION
20. Il est vrai que certaines parties de la Téfila ne peuvent être récitées qu'en présence de dix personnes, mais en ce qui concerne la Kédoucha du "Yotser" ainsi que celle de "Ouva Létsion", cela n'est pas indispensable et il est possible de les réciter même si l'on ne fait pas partie d'un Minyan. Cependant, comme cela est mentionné dans le Choul'han 'Aroukh, chapitre 59, Halakha 3, en ce qui concerne la Kédoucha du "Yotser", si l'on n'est pas en présence du Minyan, il faut la réciter en chantant les versets "Kadoch Kadoch Kadoch Hachem..." et "Baroukh Kévod Hachem Mimékomo" sur l'air des accents toniques - Ta'amim.
21. Il en est de même pour la Kédoucha de Ouva Létsion. Voir Kaf Ha'haïm, chapitre 132, passage 8.
22. Si l'on ne connait pas l'air des accents toniques, il est possible de réciter les versets en question, sur l'air chanté lorsque l'on étudie. L'essentiel étant de ne pas avoir l'air de les réciter en tant que prière. Voir Iguérot Moché, Yoré Déa, volume 3, fin de la question 21.
LIRE LE CHÉMA’ AVEC LES TA’AMIM
23. Même si l’on prie sans Minyan, il faut lire les paragraphes du Chéma' avec les Ta’amim. Voir Choul'han 'Aroukh - Ora'h 'Haïm, chapitre 61, Halakha 24, Kaf Ha'haïm, passage 62, Yalkout Yossef, chapitre 61, Halakha 10 et Halakha Broura, volume 4, page 342.
24. Pour les Ashkénazes, cela n'est pas obligatoire, mais cela est bien. Voir Rama sur Choul'han 'Aroukh - Ora'h 'Haïm, chapitre 61, Halakha 24.
CHÉMA' : RÉPÉTER HACHEM ÉLOKÉKHÈME ÉMET / DIRE KEL MÉLÈKH NÉÉMAN
25. Lorsque l'on prie sans Minyan, il faut, également, compléter 248 mots : Dans les communautés Séfarades, il est habituel de dire les trois mots Hachem Élokékhème Emet. Dans la majorité des communautés Ashkénazes, on dit, avant la phrase du Chéma’ : Kel Mélekh Nééman. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 61, Halakha 3, Halakha Broura, volume 4, page 313, Michna Broura, passage 14, Pisské Techouvot, chapitre 61, passage 4.
SE LEVER POUR CERTAINS PASSAGES
26. Lorsque l’on prie seul, il faut se lever pour Hachème Mélekh, Baroukh Chéamar, début du passage Vayevarekh David [avant la Chira], La ‘Amida, Le Vidouy, Véhou Ra’houm [lundi et jeudi] et ‘Alénou Léchabéa’h, le dernier passage de Lékha Dodi, Mizmor Ledavid Havou Lachem.
27. Les Ashkénazim se lèvent, également, pour la Chira et Yichtaba’h. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 51, Halakha 7, Michna Broura, passage 19, Kitsour Choul'han ‘Aroukh [Rav Chlomo Gantsfried], chapitre 14, Halakha 4 et Pisské Techouvot, chapitre 51, passage 18.
LE PASSAGE DES TREIZE ATTRIBUTS DE MISÉRICORDE RÉCITÉ DE SUITE APRÈS LA 'AMIDA
28. Si l’on se trouve seul à la maison, on ne récite pas les « treize Midot Chel Ra’hamim », étant donné qu’il faut être en présence de dix hommes. Cependant, il est possible de les réciter en les chantant sur l’air des Ta’amim [signes de cantillation] de la lecture du Séfer Torah.
Voir Choul'han ‘Aroukh - Ora’h ‘Haïm, chapitre 565, Halakha 5, Kaf Ha’haïm, chapitre 131, passage 23, Yé’havé Da'at, volume 1, question 47, Or Létsion, volume 2, chapitre 9, Halakha 1, Yalkout Yossef - Hilkhot Téfila, volume 2, chapitre 131, Halakha 14 et 17, Pisské Techouvot, chapitre 565, passage 5.
29. D’après certains décisionnaires, après le dernier mot « Vénaké », il faut poursuivre le verset jusqu’aux mots « Vé’al Ribé’im » [Chémot, chapitre 34, verset 7], inclus, afin de bien prouver que l’on ne récite pas une prière, mais que l’on cite un verset en tant qu’étude.
Voir Michna Broura, édition Dirchou, chapitre 565, note 14 et les références rapportées par Kaf Ha’haïm, chapitre 131, passage 23. Selon Rav Its’hak Yossef, cela n’est pas nécessaire. Voir Yalkout Yossef - Hilkhot Téfila, volume 2, page 405, Halakha 17 et note 17.
NÉFILAT APAYIM
30. A la maison, les Ashkénazes peuvent réciter la Néfilat Apayim mais sans poser la tête sur le bras. Voir Rama, chapitre 131, Halakha 2 et Pisské Techouvot, chapitre 131, passage 10.
LE PASSAGE DES TREIZE ATTRIBUTS DE MISÉRICORDE, AJOUTÉ LES LUNDIS ET JEUDIS
31. Il n’est pas nécessaire de les réciter même en les chantant sur l’air des Ta’amim. On récitera « El Mélèkh Yochèv » jusqu’aux mots « Vékhène Katouv Bétoratakh », inclus. Voir Or Létsion, volume 2, chapitre 9, Halakha 1.
MIN’HA
32. Il est préférable de prier Min’ha à partir de l’heure de Min’ha Ketana [2.5 heures et demi avant la fin de la journée]. En cas d’impossibilité, cela est possible après la demi-heure qui suit l’heure de ‘Hatsot [Min’ha Guedola]. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 233, Halakha 1 et Halakha Broura, volume 12, page 41.
33. A priori, il faut prier Min’ha avant l’heure de la Chkia’. En cas de besoin, il est permis de prier jusqu’à l’heure de la sortie des étoiles. Voir Halakha Broura, volume 12, page 60, Rambam - Hilkhot Tefila, chapitre 3, Halakha 2-3, Choul'han 'Aroukh, chapitre 233, Halakha 1, Maguèn Avraham, Michna Broura, chapitre 233, passage 1, Yé'havé Da'at, volume 4, question 19.
34. Il est préférable de prier Min’ha Guedola avec Minyan plutôt que de prier Min'ha Ketana sans Minyan. Voir Michna Broura, chapitre 233, passage 1, Hatefila Betsibour, chapitre 3, Halakha 45.
‘ARVIT
35. A priori, il faut prier ‘Arvit, le plus rapidement possible, dès l’heure de la sortie de étoiles et avant l’heure de ‘Hatsot. En cas d’oubli ou d’impossibilité, cela est possible jusqu’à l’heure du ‘Alot Hacha’har. Voir Halakha Broura, volume 12, pages 106 et 114.
36. Même si l’on prie sans Minyan, il est interdit de s’interrompre entre la bénédiction de "Gaal Israël" et la ‘Amida de ‘Arvit. Voir Choul’han ‘Aroukh, chapitre 236, Halakha 2 et Michna Broura, passage 3.
Pour d’autres détails concernant le moment de ‘Arvit, cliquez ici :
https://www.torah-box.com/question/faire-arvit-avant-la-nuit_19022.html
https://www.torah-box.com/question/arvit-beya-hid-avant-la-chki-a_4261.html
VENDREDI : KABBALAT CHABBATH ET ‘ARVIT
37. Il est possible de réciter les passages de la Kabbalat Chabbath [Lékhou Néranéna] en étant seul, et, parfois, cela est, même, recommandé, si le Minyan tarde trop.
38. Après la ‘Amida de ‘Arvit, il est absolument possible de réciter le passage "Yom Hachichi, Vayekhoulou Hachamayim...", même si l'on ne se trouve pas avec un Minyan. Cependant, il est interdit de réciter la Brakha Maguène Avot Bidvaro. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 268, Halakha 8, Kaf Ha'haïm, chapitre 268, passage 35, Yalkout Yossef - Chabbath, volume 1/2, édition 5771, page 504, Halakha 8 et Michna Broura, chapitre 268, passage 18.
39. Il est préférable de prier 'Arvit avec un Minyan avant la tombée de la nuit plutôt que sans Minyan après la tombée de la nuit. Voir Choul'han 'Aroukh, chapitre 235, Halakha 1.
Dans une telle éventualité, il est obligatoire de lire, à nouveau, les trois paragraphes du Chéma' après la tombée de la nuit. Voir Michna Broura, chapitre 235, fin du passage 11.
MIN’HA DE CHABBATH
40. Il est permis de réciter les versets Tsidkatekha, après la 'Amida de Min'ha du Chabbath.
LE HALLEL
41. Les jours où l’on récite le Hallel complet, on récite la Brakha au début et à la fin du Hallel, même en priant seul.
42. Les jours où l’on ne récite pas les Hallel complet [Roch ‘Hodech et ‘Hol Hamoèd de Pessa’h] - Dans les communautés Séfarades, on ne récite pas les Brakhot. Dans la plupart des communautés Ashkénazes, on récite les Brakhot. Voir Choul'han ‘Aroukh, chapitre 422, Halakha 2, 4, Michna Broura, passages 16 et 18. Pour les jours où l’on récite le Hallel complet ou abrégé, voir ici :
https://www.torah-box.com/question/quand-faire-le-hallel-avec-brakha_24615.html
AVINOU MALKÉNOU
43. Il est absolument permis de réciter la prière "Avinou Malkénou" si on ne prie pas en présence d'un Minyan.
LA LECTURE DE LA TORAH
44. Il est bien [pas obligatoire] de la lire dans un 'Houmach. Voir Michna Broura, chapitre 143, passage 9.
LA HACHKAVA - YIZKOR
45. Cette prière peut se réciter sans la présence d’un Minyan.
LES SELI’HOT
46. Il est permis de réciter les Seli’hot sans la présence d’un Minyan. Pour des détails, cliquez sur le lien suivant :
https://www.torah-box.com/question/minyan-indispensable-pour-les-seli-hot_6885.html