Dans quelle mesure, les disputes conjugales - si déjà elles ont lieu, car il ne s'agit ici en aucun cas de les provoquer - peuvent être salvatrices, renforcer paradoxalement le couple et être un vecteur de rapprochement ? En quoi la perception positive que l'on se fait des disputes et de leurs conséquences peuvent influer sur les intentions que les conjoints nourrissent et les comportements qu'ils adoptent lors du différent ? Le potentiel de réussite d'un couple est-il fonction du nombre de disputes auxquelles il fait face ou de la manière dont elles sont gérées ? Existe-t-il un "art de la dispute", à savoir un processus sain à mettre en place pour communiquer à froid et non à chaud ?

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