Que nous manque-t-il en l'absence du Beth Hamikdash ? Comment s'endeuiller sur sa destruction, alors que nous ne l'avons pas connu ? En quoi le fait de penser au Beth Hamikdash ne serait-ce que cinq minutes par jour peut-il contribuer à sa reconstruction ? Réponse à travers des propos de l'Admour de Slonim, de Rabbi Na'hman et du Arizal.
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