Celui qui réserve un issar [au rachat de la seconde dîme] et en a consommé pour la moitié, puis s’est rendu à un endroit où le [issar] s’échange pour un poundyone, peut y manger encore l’équivalent d’un issar. Celui qui réserve un poundyone et consomme pour la moitié de sa valeur, puis se rend à un autre endroit où [le poundyone] s’échange pour un issar, peut y manger encore pour un demi-[issar]. Celui qui réserve un issar de seconde dîme, mangera pour une valeur de onze [dixièmes] de issar ou de cent un [centièmes] de issar. Beth Chamaï dit : dans tous les cas dix [dixièmes] et Beth Hillel dit : pour [la dîme] des fruits certains onze [dixièmes], pour [la dîme] des fruits douteux, dix.