Si quelqu’un a pris possession de la seconde dîme pour un sela et n’a pas eu le temps de la racheter avant qu’elle ne coûte deux [sela’im], il donne [au propriétaire] un sela, gagne un sela et la seconde dîme lui appartient. S’il a pris possession de la seconde dîme pour deux [sela’im] et il n’a pas eu le temps de la racheter avant qu’elle ne coûte un seul, il lui donne un sela de l’argent profane et un autre sela de son [argent] de seconde dîme. Si [le vendeur] est un ignorant, il lui donne [le deuxième sela de l’argent provenant de la seconde dîme] d’un produit douteux.