Celui qui achète un animal non domestique (‘haya) en vue de sacrifices chelamim ou du bétail (béhéma) pour le plaisir [d’en consommer] la viande, la peau n’en devient pas profane. En ce qui concerne les cruches de vin ouvertes ou fermées, aux endroits où on a l’habitude de les vendre ouvertes, la cruche ne devient pas profane. [Si on achète] des paniers d’olives ou de raisins avec le récipient, la valeur en argent du récipient ne devient pas profane.