Celui qui loue un champ d’un non-juif prélèvera la dîme avant de remettre (au non-juif) ce qui lui revient ; Rabbi Yehouda dit : même celui qui accepte en fermage d’un non-juif, le propre champ de ses ancêtres, devra prélever la dîme avant de remettre (au non-juif) ce qui lui revient.