Celui qui dit à une personne qui n’est pas digne de foi pour le prélèvement des dîmes : « achète-moi auprès de quelqu’un qui est digne de foi ou auprès de quelqu’un qui prélève la dîme », on ne se fiera pas à cette personne (ignorante) ; « de chez tel homme », on peut lui faire confiance. Si, après avoir été chez la personne désignée, il dit : je ne l’ai point trouvée et j’ai acheté à telle autre personne digne de foi, on ne lui fera pas confiance.