Si quelqu’un adjure son prochain par vœu de manger chez lui et que celui-ci ne lui fait pas confiance pour les dîmes, il pourra manger chez lui la première semaine, malgré son manque de confiance pour les dîmes, à la condition que l’hôte lui déclare « le prélèvement a été fait ». Mais la seconde semaine, même s’il fait le vœu de s’interdire à son sujet toute sorte de jouissance, il ne mangera qu’après avoir pris soin de prélever la dîme.