On peut, avec des produits Demaï, procéder à la cérémonie du ‘Erouv ou au chitouf (à l’association des rues), on prononce à leurs sujets des bénédictions et le zimoune (l’invitation après le repas) ; on peut, étant nu, prélever les dîmes, au crépuscule (la veille de shabbat) ; et si l’on a prélevé la seconde dîme avant la première cela ne fait rien. L’huile dont le tisserand s’enduit les doigts est soumise à la dîme lorsqu’elle a le statut de Demaï, mais celle que le cardeur met dans la laine, en est dispensée.