[En ce qui concerne]tous les animaux consacrés disqualifiés[qui ont été disqualifiés pour le sacrifice en raison de défauts et qui ont été rachetés, tous]les bénéfices[tirés de]leur[vente appartiennent]au[trésor du Temple]. [Afin de garantir que le trésor du Temple ne subira pas de perte, ces animaux]sont vendus au marché des bouchers [ba'itliz] et abattus au marché des bouchers,[où la demande est forte et le prix est par conséquent plus élevé]. Et[leur viande]est pesée[et vendue]au litra,[de la même manière que la viande non sacrée est vendue]. [C'est la règle concernant tous les animaux consacrés], à l'exception de l'[offrande du premier-né]et de l'offrande de dîme [d'un animal]. (Lorsque ceux-ci présentent des imperfections et que leur abattage est autorisé, ils sont vendus et abattus uniquement dans la maison du propriétaire et ne sont pas pesés ; ils sont plutôt vendus sur estimation). [La raison en est]que[tous]les bénéfices[tirés de]leur[vente appartiennent]au propriétaire,(c'est-à-dire au Kohen pour le premier-né et au propriétaire pour l'offrande de dîme des animaux). [Il n'est pas permis de traiter les animaux consacrés disqualifiés comme on traite les animaux non sacrés, simplement pour garantir que le propriétaire recevra le prix optimal]. [Cela contraste avec les animaux]consacrés disqualifiés, [où tous]les bénéfices[tirés de]leur[vente appartiennent]au[trésor du Temple, et donc l'animal est vendu sur le marché pour garantir que le prix optimal soit reçu]. Et[bien que la viande du premier-né ne soit pas pesée et vendue au litra, néanmoins, si quelqu'un a de la viande non sacrée pesant cent dinars], on pourra peser une portion[de viande non sacrée]contre une portion[de viande]du premier-né,[parce que cela diffère de la manière dont la viande non sacrée est pesée].