Elicha’ ben Avouya disait : Celui qui enseigne à un enfant à quoi peut-on le comparer ? A l’encre (de l’encre) tracé sur du vélin neuf. Mais celui qui enseigne à un vieillard à quoi peut-on le comparer ? A de l’encre (de l’écrit) tracé sur du vélin maculé. Rabbi Yossé bar Yehouda de Kfar Bavli disait : Celui qui apprend d’un maître jeune ressemble à un homme qui mange du raisin vert ou qui boit du vin
sortant du pressoir. Mais celui qui a pour maître un homme d’âge mûr ressemble à un homme qui mange du raisin exquis ou qui boit du vin vieux. Rabbi Méïr dit : Ne considère pas le vase, mais examine son contenu. Il y a des vases neufs remplis de vin vieux et des vases vieux ne contenant même pas de vin nouveau !